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samedi 2 avril 2016

Kazakhstan - Une étape de transition.. puis la Russie..

Outre les steppes désertes qui n’offrent guère de fortes opportunités de distractions, la durée du visa russe me pousse à presser le mouvement. En effet le visa russe vous est octroyé à partir d’une date précise avec une date de sortie impérative sauf à payer de fortes amendes par jour de retard. Cela incite à presser le mouvement. Sur la route peu de distractions. Un couple de Russe, des entraîneurs d’une équipe de hockey rentre au pays. C’est l’occasion de se voir à plusieurs reprises.

 Il existe deux routes dont l’une est manifestement plus roulante, c’est l’avis des routiers interrogés par mon co-équipiers russe. Il a une voiture rapide et nous nous lançons un challenge..Fort heureusement, il y a des portions de route en réfection ce qui ralentit à la fois la vitesse mais aussi l’enthousiasme de l’entraineur et de sa femme.
Il ne reste que 1600 kilomètres jusqu’à Moscou..et 2300 pour Saint Petersburg..
C’est bientôt l’arrivée à la frontière. Un vrai plaisir comparé aux précédentes expériences entre pays d’Asie Centrale. Par contre, il faut passer par une route enclavée entre deux barrières et grillages métalliques, puis par une mare d’eau dans une pente douce. S’agit-il d’une décontamination ?  C’est difficile à dire.  Les douaniers et policiers sont plutôt aimables. Suis assez positivement surpris. Rapidement j’arrive à SAMARA. La Volga traverse la ville. La première impression est excellente malgré un vent violent. Immenses plages longent la Volga. Des Skyte Surfer voltigent, une longue promenade, telle celle que l’on rencontre dans le sud de la France permet de suivre le cours de la Volga. Ca sent les vacances. La rupture est complète avec les paysages de steppe des jours précédents.  








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