Nous sommes à Tadoussac , petit village de 800 âmes sur les
traces de Jacques Cartier qui se serait arrêté ici au 16 siécle tandis des
français y ont fait le commerce de fourrure. Ce qui nous a attiré ici, ce sont les baleines
qui remontent le Saint Laurent et s’arrête ici au point de jonction entre les
eaux de mers du Saint Laurent et l’eau douce de la rivière Saguenay. Nous
resterons assez longtemps pour observer, et nous serons récompensés à plusieurs
reprises de façon fugitive sans avoir le temps de régler nos appareils photos.
Un magnifique hôtel de blanc et rouge , l’hôtel Tadoussac sert de camp de base aux touristes qui viennent s’adonner à la chasse photographique des baleines. Le village est plutôt séduisant mais croule sous le flot des touristes.
Un magnifique hôtel de blanc et rouge , l’hôtel Tadoussac sert de camp de base aux touristes qui viennent s’adonner à la chasse photographique des baleines. Le village est plutôt séduisant mais croule sous le flot des touristes.
Tout est organisé pour admirer les cétacés même les chaises canadiennes, assez confortables, scellés dans le sol.
L’occasion
de repartir et de croiser les motards du dimanche. En fait, je ne sais si l’on
peut les appeler motards. Ils sont certes équipés comme des motards mais leur
engin a trois roues, deux à l’avant et une motrice à l’arrière. Ces engins, qu’ici
on nomme spider, fait d’ailleurs l’objet d’un permis spécifique. Ce type d’engin
s’imagine mal sur les routes plus étroites de l’Europe.
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