Deux ou trois jours sans internet, le retard de publication
va s’accélérer. Nous repartons en Direction d’un parc national, celui de
Forillon dont le principal intérêt est d’être à l’extrême Est de la Gaspésie.
Le Canada fête ses 150 ans cette année et à cette occasion, toutes les entrées
des parcs nationaux sont gratuites. Nous
partons de la Croix Jacques Cartier, pour arriver à l’Anse aux Cousins, puis
nous traversons sur le Boulevard de Saint Majorique, puis empruntant le
boulevard du Forillon qui passe par Farevell Cove, puis par de nombreux lieux
de Culte, puis Penouille, Fort Peninsule, lee Cap aux Os avant d’arriver au
parc National Forillon, l’Anse Saint Georges pour arriver au lieu dit « Le
bout du Monde ». Si j’énumère tous ces noms, c’est pour mieux communiquer
l’atmosphére qui régne ici ou francais et anglais se sont battus, mais chacun y
a laissé ses traces. La création du parc a donné lieu à l’expulsion de
famille.. que le parc remercie même s’ils sont manifestement partis contre leur
gré.
On reprend la route vers Percé et son île célébre. Lorsque la
marée est basse, on peut y accéder ..mais un petit hic. Il ne s’agit pas d’un
parc national mais d’un parc régional. Il faut se garer dans un parking payant,
puis payer pour visiter un lieu naturel dont manifestement, il n’y a guère de
grosses dépenses d’aménagement.. C’est un peu désagréable. La principale
satisfaction est celle que l’on a en plongeant sur Perce. La route entame en
effet une longue descente sur Perce, sa baie et ce rocher que la mer à isoler.
Joanne squattera d’ailleurs le milieu de la chaussée, à quatre pates sur la
ligne jaune afin de réaliser la meilleure photo possible.
En quittant la ville, en face d’un complexe hôtelier,
« Le Mirage », nous arrêtons pour prendre une dernière photo avant de
quitter ce site. A ce moment, notre regard est attiré par de l’eau qui l’on
dirait comme projetée en l’air. Encore sous le charme des cétacés de Tadoussac que
nous avions observé, nous en tirons la conclusion qu’il s’agit d’une baleine,
assez content d’avoir inscrit une observation de plus à notre tableau de chasse
photographique.. Mais c’est bizarre, c’est loin mais ne semble pas se déplacer.
La baleine souffle toujours aussi haut. Nous finissons par avoir un sérieux
doute.. Il s’agit d’un mirage.. Un peu penot, nous comprenons pourquoi le
complexe hôtelier a choisi ce nom, du moins c’est ce que nous concluons.
Il est temps de repartir, le ciel est menaçant. Nous aurons
quelque gouttes
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