Plus de 20 jours de retard dans la rédaction de ce blog.
J’essaie de tenir le rythme, mais il y a les conversations le soir avec les
voyageurs de passage. Hier c’était un jeune Russe qui réalise de la fiction en 3 D à partir d’images vidéo.
Passionnant de voir comment il modélise son modèle, l’habille et l’anime. Puis
une jeune graphiste américaine qui réalise mon portrait. A cela s’ajoute le
temps passé à gérer mon espace disque sur le Cloud pour que Joanne puisse
récupérer et travailler ses photos que j’ai sauvegardé sur mes disques durs.
Tout çà ne fait pas avancer mon blog..
Revenons donc à
Bouctouche où le ciel couvert ne nous a pas permis de voir l’aurore boréale.
Par contre au lever, un cri d’oiseau répété nous intrigue. Nous ne parvenons
pas à le localiser. L’hotelier nous explique qu’il s’agit d’un jeune aiglon (
de plusieurs mois quand même avec une envergure d’au moins un mètre) que la mère ne nourrit que partiellement afin
de provoquer son envol. Mais apparemment il appartient à la génération des « Tanguy »
(notre symbole tricolore, en
référence au film d'Etienne Chatiliez sorti en 2001) ..il vaut mieux cocooner..
Bref nous quittons notre presbytère et le cimetière et repartons mais pas pour très longtemps. Au bout de moins de deux kilomètres. Une animation nous amène à nous arrêter. C’est un marché de proximité, comme il semble que l’on les encourage ici au Canada. Il n’y a pas de taxes sur les produits vendus. Ici moultes français. Une jeune ex-parisienne vend des cannelés et un viticulteur, ancien militaire de Toulon, vit ici depuis 30 ans. Vivre ici, c’est confortable financièrement, mais dés que vous êtes malade, il vous faut payer plein pôt. Il nous explique que l’un de ses fréres à Québec doit se faire faire des piqures, anti corps pour lutter contre le cancer et doit payer 70% de sa poche. A 1000 dollars Canadiens, la piquouse.. çà fait cher le soin. Il nous explique q’il fait du vin de myrtille. Je pense à une Toulonnaise ..et décide d’’enregistrer ce reconverti toulonnais à son intention. Il parle encore assez bien le français métropolitain..
il nous conseille d’aller voir l’arboretum de la fondation Irving. Un grand magnat du pétrole canadien. Mais çà ce sera pour le prochain post.. Je suis déjà hyper à la bourre ce matin
Bref nous quittons notre presbytère et le cimetière et repartons mais pas pour très longtemps. Au bout de moins de deux kilomètres. Une animation nous amène à nous arrêter. C’est un marché de proximité, comme il semble que l’on les encourage ici au Canada. Il n’y a pas de taxes sur les produits vendus. Ici moultes français. Une jeune ex-parisienne vend des cannelés et un viticulteur, ancien militaire de Toulon, vit ici depuis 30 ans. Vivre ici, c’est confortable financièrement, mais dés que vous êtes malade, il vous faut payer plein pôt. Il nous explique que l’un de ses fréres à Québec doit se faire faire des piqures, anti corps pour lutter contre le cancer et doit payer 70% de sa poche. A 1000 dollars Canadiens, la piquouse.. çà fait cher le soin. Il nous explique q’il fait du vin de myrtille. Je pense à une Toulonnaise ..et décide d’’enregistrer ce reconverti toulonnais à son intention. Il parle encore assez bien le français métropolitain..
il nous conseille d’aller voir l’arboretum de la fondation Irving. Un grand magnat du pétrole canadien. Mais çà ce sera pour le prochain post.. Je suis déjà hyper à la bourre ce matin
.
et pour Daniele...la Toulonaise..
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